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La chanteuse nigériane-allemande présente Love supreme. Les 13 chansons présentent à la fois la continuation et le départ. Elle a connu un succès particulièrement retentissant en France avec son single Heartbeat sortie en 2011 qui est un devenu un classique. Cette artiste unique a toujours été en avance sur son temps. Depuis 2011, date de la sortie de son dernier véritable album, Soul Is Heavy, une nouvelle génération d'artistes afro-américains et afro-européens a émergé, désignés par le nom "Afro-Punk". Musicalement éclectiques, ils se présentent plus décontractés et alternatifs, non seulement en termes de vêtements et de coiffures, mais aussi en termes de croyances et d'intérêt général. Quelque chose que Nneka a fait depuis le début ! This Life, le seul single uptempo de l'album, About Guilt, Walk Away et quelques autres ont été écrits et produits avec le partenaire de longue date Farhot, et With You avec Mounir Maarouf. Elle a également travaillé avec l'auteur/producteur berlinois Unik.

Premier album de Banhart depuis "Ape in Pink Marble" sorti en 2016. "Ma" est débordant de tendresse, de clin d'oeil autobiographiques et témoigne du passage de l'expérimentation sonore de ses précédents albums à une histoire complexe et captivante ainsi qu'à une intimité émotionnelle. Devendra privilégie les sons organiques pour accompagner sa voix et sa guitare, des arrangements renforcés par des cordes, des bois, des cuivres et des claviers. Son 1er single, "Kantori Ongaku" traduit du japonais en "musique country" est un clin d'oeil à la légende de la pop expérimentale Haruomi Hosono, membre fondateur du groupe électronique influent Yellow Magic Orchestra.

Medicine at Midnight est le dixième album studio du groupe américain de rock alternatif Foo Fighters, sorti le 5 février 2021 sur le label RCA Records.

Mellon Collie and the Infinite Sadness est le troisième album studio des Smashing Pumpkins, sorti le 23 octobre 1995 sous le label Virgin Records. Produit par Billy Corgan, leader du groupe, assisté de Flood et Alan Moulder, l'album se compose de deux disques intitulés Dawn to Dusk et Twilight to Starlight. Il mêle, dans ses vingt-huit pistes, plusieurs styles musicaux : rock alternatif, pop, heavy metal, grunge, musique électronique. Presque entièrement écrit par Billy Corgan, il marque néanmoins une plus grande implication de la bassiste du groupe D'arcy Wretzky et du second guitariste James Iha. Aidé par le succès du premier single qui en est extrait, Bullet with Butterfly Wings, Mellon Collie and the Infinite Sadness est le seul album du groupe à se classer en première position au Billboard. Quatre autres singles en sont tirés : 1979, Zero, Tonight, Tonight, et Thirty-Three, tous sortis tout au long de l'année 1996. Mellon Collie and the Infinite Sadness a été certifié neuf fois disque de platine par la Recording Industry Association of America avec des ventes estimées à 10 millions d'exemplaires. Salué par les critiques pour son ambition et sa portée, il offre au groupe sept propositions aux Grammy Awards en 1997.

Memento Mori est le 15e album studio de Depeche Mode et le premier avec le line-up de Dave Gahan et Martin Gore, suite au décès tragique du co-fondateur Andrew Fletch Fletcher en 2022. Produit par James Ford, la gestation de Memento Mori a eu lieu pendant les premiers stades de la pandémie de Covid. Les 12 titres de l'album tracent une vaste étendue d'ambiances et de textures, de son ouverture inquiétante à sa résolution finale, allant de la paranoïa à l'obsession en passant par la catharsis et la joie, et atteignant une myriade de points entre les deux.

On les attendait au tournant mais c’est dans les airs qu’il fallait regarder. Fort des 14 millions d’exemplaire vendus du blockbuster « Hybrid Theory », le gang nu-metal confirme son statut d’étoile dans le ciel assombri du rock mondial grâce à un album qui ne déçoit pas. En effet, les fans du premier opus ne pourront qu’aimer ce second effort tant on reconnaît la « patte » du félin Linkin Park ; alternance de couplets calmes mélodiques et de refrains agressifs, samples et chant hip-hop sur certains passages. Le premier extrait issue de « Meteora », Somewhere I Belong, reflète bien la première partie de l’album plutôt mid-tempo et furieuse. Ensuite, la musique des Californiens se montre plus variée avec des tempo plus rapides (Faint) et des ambiances plus aquatiques où le DJ montre toute sa maîtrise. Le groupe s’autorise même l’usage de cordes sur le bien-nommé Breaking the habit. Nobody’s Listening est une chanson résolument hip-hop et constitue la surprise de l’album. « Meteora » prouve que Linkin Park n’est pas destiné à n’être qu’une comète du rock terrestre.

Metronomy sont enfin de retour avec leur 6ème album 'Metronomy Forever' : 17 titres morceaux allant du tube typique de Metronomy (Lately,Whitsand Bay, Wedding Bells) à des moments où les guitares trouvent une place inédite (Upset my girlfriend) et d'autres où surgissent des choses inattendues telles un objet pop sucrée (Salted Caramel Ice Cream) et l'exercice de style presque reggae (Walking in the dark) et des intermèdes instrumentaux frôlant l'ambient.

Après Night moves puis Kids we own the summer et ses claviers harmoniques, H-Burns revient à la quintessence de son style : un songwriting de qualité internationale et une justesse d'interprétation qui est difficilement prise à défaut.

En complément de l'album Midnight rocker, acclamé par la critique, voici la version dub d'Adrian Sherwood sur les sessions originales. Il contient de nouveaux morceaux, des reprises de dancehall avec des interjections de Daddy Freddy ou Lone Ranger, et des excursions instrumentales dans le style classique du reggae dub. Poursuivant la série entamée par Sherwood avec Heavy rain, sa réinterprétation de l'album Rainford de Lee "Scratch" Perry, Midnight scorchers est à la fois une suite essentielle de Midnight rocker et un album puissant en soi.

Le dernier album du chanteur, compositeur et producteur William Fitzsimmon est une véritable chronique sur sa vie tumultueuse - notamment sur la séparation avec sa femme l'année dernière. Des sons bruts, vrais, une grande présence des guitares accoustiques rejoins par des nappes de claviers et des violons.

Après des albums platine et or, et le succès planétaire du remix de Prayer In C (deuxième titre le plus Shazamé de tous les temps), Lilly Wood and The Prick revient un avec un 4ème album enflammé et oxygénant. Des textes affirmés et une production pop électro remplie de soul nourrissent 14 titres imparables habités par la voix soul et écorchée de Nili. Le premier single « You want my money » dénonce notre société de surconsommation ou nous nous perdons jusqu’à finalement ne plus rien avoir. Un track « up tempo » et direct dans un clip réalisé par Benjamin et Nili de Lilly Wood où les images parle d’elles même pour dénoncer avec humour l’absurdité de notre société. Lilly Wood and The Prick dévoile un deuxième titre, le 2 avril : « A song ». Un titre pop et folk qui renoue avec les débuts du groupe, porté par la voix angélique et écorchée de Nili qui sert une production fine et ajustée. Une chanson pour les cœurs brisés, les amours et les désamours, à écouter sans retenue en ces premiers soirs de printemps et à classer entre le « It’s too late » de Carole King et la nouvelle vague Folk/Soul US. Au travers de 14 chansons, « Most anything » apporte un vent de fraîcheur pour composer un album pur, sincère et puissant, comme un coup de poing au cœur de la morosité ambiante avec une soul/folk actuelle et engagée.

Deluxe, c'est avant tout l'histoire d'une belle amitié entre copains. Ils sont de retour avec un 4e album studio, entièrement écrit, enregistré et mixé par le groupe ; on y retrouve des featurings avec La rue Kétanou, Féfé ou Youssoupha, ainsi qu'un titre co-écrit et enregistré avec plusieurs de leurs fans.

Un groupe pop-rock-hip-hop fondé sous le soleil de Barcelone en 2008, revient avec un cinquième album toujours plus délicieux, qui donne comme une envie de danser dans une salle de concert moite... On a perdu l’Angleterre, fermé les frontières et puis bâillonné les concerts, les terrasses et les restau mais on a toujours les copains, le printemps qui se pointe et la bamboche à partager sur des écrans . Alors, voilà un disque pour nous rappeler au bon souvenir de l’Europe, des amitiés arrosées de bière dans les bars de Barcelone, des corps couverts de sueurs dans des salles de concerts moites, des cigarettes partagées sur des trottoirs avec des inconnus, je vous présente, La Cafetera Roja. La Cafetera Roja, ce sont six musiciens européens, qui se rencontrent en 2008 à Barcelone, ambiance auberge espagnole, pour une approche festive et alternative de la musique, mélange de rock, hip hop, musiques latines et chanson. Après un an de confinement et de travail à distance, ils sortent leur cinquième disque Mozaïk, leur espagnol s’est transformé en un nouvel esperanto mélange de français, de dialecte autrichien, d’anglais, pour des titres hors du temps et des frontières. Et oui, car hier encore, on pouvait grimper dans un train et changer de pays pour aller danser, la musique était un langage universel qui n’avait pas besoin de test PCR pour se trémousser. Hier encore, on pouvait s’indigner du traitement inhumain que l’on inflige aux migrants, on pouvait chanter avec eux et pour eux, répéter que l’amour se fiche bien de la politique et lorsque les gouvernements construisaient des murs ou posaient des blocs de bétons pour fermer des routes, nous étions des milliers à protester en postillonnant. Voilà, ce nouvel album de la Cafeteria Roja, c’est le souvenir de toutes ces libertés perdues, une époque où l’on pouvait se déclarer citoyen du monde, un disque enregistré confiné, souvent séparé mais qui garde l’énergie du collectif, un état indépendant de la fête et de la joie, aux couleurs de toutes les émotions de la vie. On y trouve du jazz, de la cumbia, des percussions et une valse savante de voix qui prouve qu’on est pas obligé d’être nul en langues étrangères. Alicia Vullo, France Inter

Après un premier album en 2014, Hypnotic Wheels, trio traditionnel composé de Tia Gouttebel (guitare et voix), Marc Glomeau (percussions), et Gilles Chabenat (vielle à roue), revient avec un nouvel opus puisant habilement dans la pure tradition française du folklore de Centre France, mixé avec le blues roots du nord du Mississipi. L’originalité de la formation, à la suite d’un voyage initiatique aux sources du blues, a permis l’heureuse rencontre avec Cédric Burnside, Sharde Thomas, Cameron Kimbrough et Pat Thomas, qui sur les traces de leurs ainés ont su imprégner de leur culture du Delta cette oeuvre inédite riche de leur humilité, ou l’excitation aboutit vers une expérience musicale unique. Après avoir reçu en fin d’année 2018 le prix prestigieux de l’Académie Charles Cros, ce projet est honoré pour ce début d’année 2019 des 4 Clés Télérama qui accompagneront le projet en tournée française.

Le quatuor britannique présente son neuvième album studio produit par le producteur Max Martin avec le single Higher Power, ritournelle pop optimiste et entraînante lancée depuis la Station Spatiale Internationale par Thomas Pesquet. Sur le thème graphique de l'espace, Coldplay livre un opus pop taillé pour les stades, fait à la fois d'hymnes entraînants et de ballades chaleureuses.

Le premier album de Cocoon "My Friends all died in a plane crash", dévoile l'univers personnel, original, doux et décalé de Mark Daumail (chant, guitare, banjo, ukulele, beatbox) et Morgane Imbeaud (chant, claviers, arrangements) qui composent le duo mixte Cocoon. Cocoon compose des melodies folk-pop envoûtantes et délicates, dans une tradition de songwriting épuré et poétique dans la lignée de Nick Drake ou Eliott Smith.

Après trois albums auréolés de platine et d’or, la chanteuse et pianiste acclamée par la critique, Agnes Obel est de retour avec « Myopia ». Ce nouvel album s’inscrit dans la continuité artistique de ses précédents enregistrements et invite à un voyage musical et visuel. Pour cela, l’artiste s’est imposé une isolation créative, en se coupant de toute influence et distraction extérieures lors de la composition, de l’enregistrement et du mixage. ”Paradoxalement, j’ai besoin de créer ma propre myopie pour faire de la musique.” Agnes Obel a expérimenté avec des techniques de traitement du son, de déformation et de changement de la tonalité des voix, des cordes, du piano, du célesta et du piano luthéal, trouvant des façons de fusionner ces éléments en un seul, et de les assembler si bien que l’on se sent chez soi au sein du son qu’elle invoque tout au long de l’album.

Ce groupe de Los Angeles, a toujours été inspiré par son environnement et l'endroit où il se trouve. Leur musique est influencée par le rock and roll, le Tex-Mex, la country, le zydeco, le folk, le R&B, le blues, la brown-eyed soul et la musique traditionnelle comme la cumbia, les boleros et les norteæos. Avec Native Sons, le groupe a voulu mettre en valeur toutes ces influences avec sa propre version des chansons de Los Angeles écrites par certains des plus grands auteurs-compositeurs de la ville. Native Sons comprend 13 chansons d'artistes de Los Angeles bien connus comme Buffalo Springfield, WAR, Jackson Browne et les Beach Boys, ainsi que des morceaux profonds des Jaguars, des Basters et des Premiers. Le titre éponyme est la seule composition originale écrite par le groupe.