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Depuis le succès de "Transsiberian" Thylacine n'a cessé d'explorer des contrées et territoires à la recherche de nouveaux défis et histoires à retranscrire. À l'image des alpinistes sur les glaciers, Thylacine fait partie de ceux qui cherchent continuellement à tracer de nouvelles voies. Il comptabilise des millions de streams à son acquis, à l'instar de ses plus grands succès : "Anatolia", "Piany Pianino" ou encore "Satie I", et ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Loin des sentiers battus, son nouvel opus «9 Pieces» comportera des titres inédits issus de ses derniers voyages et rencontres, des pièces musicales à assembler afin de pouvoir reconstituer un puzzle et de s'immerger dans l'univers de Thylacine. Son nomadisme musical l'incite à envisager chacun de ses projets comme une aventure à part entière, à l'image de ces 9 pièces.

La musique d’Asian Dub Foundation est un genre en soi. Leur fusion unique de rythmes jungle, de lignes de basse dub, de guitares sauvages puisant dans leurs racines sud-asiatiques et de rap militant les a établis comme l'un des meilleurs groupes live au monde. Ce fut une année 2019 chargée pour Asian Dub Foundation, avec la réédition tant attendue de leur classique Rafi’s Revenge, nominé au Mercury Prize en 1998. La réédition a suscité des critiques enthousiastes qui ont toutes convenu que le son et le message lancés par ADF en 1998 sont aussi pertinents aujourd’hui qu'ils l'étaient à l'époque - peut-être même plus encore. Il est donc opportun qu'en 2020, le groupe s'apprête à sortir son 9ème album studio intitulé Access Denied, plus militant que jamais. Ce nouvel album présente le spectre complet d’Asian Dub Foundation, du son jungle/punk dur de «Stealing The Future» et «Mindlock» à la méditation orchestrale de «Realignment» et la complainte reggae de la chanson éponyme. Avec des invités tels que les palestiniens de 47 Soul, la tornade rap de la révolte chilienne Ana Tijoux et le comédien radical britannique Stewart Lee, ou encore la reprise d’un discours de Greta Thunberg, Asian Dub Foundation continue à s’opposer à travers sa musique aux pouvoirs en place et ce nouvel album Access Denied frappe encore plus fort et plus haut que jamais.

Montparnasse, c'est l'histoire de deux producteurs rencontrés à la gare Montparnasse à Paris. Chobolo d'Afrique du Sud a rencontré Nadjib de France jouant du piano que l'on trouve généralement dans les grandes gares principales de France. Quelques mois plus tard, ils décident de s'associer et de produire des titres club feat Konono N°1, Les Amazones d'Afrique, M'Bongwana Star, Basokin... C'est alors que le duo est né.

Pionniers de la scène électro-pop britannique, Morcheeba est de retour avec Blackest Blue, le 10ème album studio d’une discographie couvrant maintenant 3 décennies. Forcés d’annuler tous ses concerts pour l’année 2020, Skye Edwards et Ross Godfrey ont pris le temps nécessaire pour écrire ce nouvel album, et l’emmener là où ils le souhaitaient. Le résultat ? 10 chansons qui fusionnent de manière cohérente les différents styles que le groupe a pratiqué depuis le début de sa carrière – downbeat, chill, électro-pop et soul – avec toujours ce supplément d’âme qui fait de Morcheeba un groupe à part.

Pionnier de la scène Trip Hop anglaise avec 8 albums à son actif, vendus à plus de 10 millions d'exemplaires, Morcheeba revient aujourd'hui avec Blaze Away. Premier album en 5 ans, il marque à la fois une nouvelle approche, plus organique, ainsi qu'un retour au joyeux mélange des genres de ses débuts - entre Downtempo, Trip-Hop, R&B et Pop - le groupe londonien ne s'étant foxé aucune barrière lors de l'enregistrement des 10 titres qui composent Blaze Away. Cerise sur le gâteau, Morcheeba accueille deux invités de luxe, avec Benjamin Biolay sur le single "Paris-Sur- Mer" et Roots Manuva sur le titre éponyme.

Personne n’a pu succomber au charme de Rhye ? Souvenez-vous en automne 2012 où l’on s’est pris une douce gifle avec le toujours aussi voluptueux « The Fall » où la voix androgyne de Mike Milosh presque réminiscente à celle de Sade qui agissait comme une caresse. Ainsi est venu leur premier album Woman début 2013 qui est devenu un classique instantané dont on ne se lasse toujours pas aujourd’hui. Mais seulement voilà, cinq années se sont écoulées et de l’eau a coulé sous les ponts depuis. C’est en ce début d’année que Rhye fait son grand retour avec leur second disque intitulé Blood. Et comme d’habitude, on se laisse emporter par leur pop-soul sensuelle à travers des morceaux downtempo tels que « Waste », « Feel Your Weight » ou encore « Please ». Mais, vous n’avez pas remarqué quelque chose par rapport à son prédécesseur ? Mike Milosh est désormais seul aux commandes car le compositeur et producteur du projet musical Robin Hannibal a décidé de quitter l’aventure quelques années plus tôt. C’est avec l’aide des musiciens qui l’ont accompagné en concert depuis tout ce temps qu’il a décidé de se remettre en selle. Et autant dire qu’il ne se débrouille plutôt pas mal notamment avec des friandises sucrées qui fondent précieusement sur la bouche comme les plus énergiques « Taste » et « Count To Five » mais également plus loin le plus groovy « Phoenix » pour le moins impressionnant. Mais pour le reste, on succombera avec « Song For You », « Stay Safe » ainsi que « Softly » qui représentent l’ADN musical de Rhye. Avec tous les efforts qu’a pu réunir Mike Milosh avec son interprétation toujours aussi sensuelle et androgyne ainsi que ses arrangements somptueux, on sent tout de même la grosse absence de Robin Hannibal qui fut un élément prédominant. Il en résulte un Blood sobre et élégant mais peu éclaté et moins risqué. Ceci dit ce second album marche dans les mêmes pas de son grand frère.

Archive, le collectif mythique du sud de Londres adulé des français, présente son 12e album studio. Un double album événement de 17 titres qui marque le grand retour du groupe après 6 ans d'absence, suite à la sortie de The False Foundation en 2016. Call To Arms & Angels est un véritable voyage guidé par ce courant sombre et électrique unique typique de l'univers d'Archive ; riche de contrastes irrésistibles, l'album reflète avant tout les frustrations individuelles et collectives face à la réalité des luttes quotidiennes auxquelles beaucoup sont confrontés en matière de santé et de bien-être.

Chillout Lounge entre dans la quatrième étape! Comme d'habitude, c'est la bande-son idéale pour se reposer, se détendre et se relaxer tout en écoutant des sons doux, des rythmes apaisants et des sphères tonales. Profitez de plus de deux heures de la meilleure musique pour ralentir et vous détendre!

Combat Dub 4 revêt la forme d'un condensé de la foisonnante discographie de Brain Damage, revisitée par 14 producteurs parmi les plus influents de leur génération. 20 ans de dub et d'expérimentations De Bogotá à New-York, de Londres à Guadalajara, de Kingston à St Etienne, de 1999 à 2019 Happy birthday Dubwise !

Dig Your Own Hole est le second album du groupe de musique électronique britannique The Chemical Brothers, sorti le 7 avril 1997. Il se distingue dans la discographie du groupe comme étant son plus long album, atteignant 1h03, soit quasiment un quart de plus que son prédécesseur Exit Planet Dust. Dig Your Own Hole a été certifié disque de platine le 21 janvier 2000 au Royaume-Uni. En 1998, les lecteurs du britannique Q Magazine ont voté Dig Your Own Hole comme étant le 49e meilleur album de tous les temps. En 2000, le même magazine l'a placé dans le même sondage à la 42e place. En 2004, l'album a été publié dans un coffret avec Exit Planet Dust (1995), le premier opus dans le cadre de la collection 2CD Original du label britannique EMI. L'album est resté au top des charts britanniques du 19 avril 1997 au 25 avril 1997.

Le titre est déjà tout un programme... C'est un disque que le producteur décrit comme un retour aux sources de son identité sonore, en forme de clin d'oeil revisité à l'énergie rock de ses premiers albums. Ce premier volet est une sorte de condensé de ce que Vitalic sait faire le mieux en vingt ans de carrière, de la tornade crasse à se dévisser la tête sur le dancefloor à la pop-song amoureuse et synthétique pour s'évader.

Après la sortie de Dissidaence Episode 1, chaleureusement accueilli par la critique comme par le public, Vitalic tient ses promesses et nous offre une suite plus techno et plus sombre que le premier volet, marquée par une esthétique industrielle froide et minimale. Une composition et une production brutes non sans rappeler l'héritage post-cold wave - ancré dans l'ADN du producteur depuis toujours - et désormais plus que jamais revendiqué.

Un peu d'histoire... Dive Deep est le sixième et dernier album en date de MORCHEEBA. PAUL et ROSS GODFREY ont déjà sorti 5 albums depuis 1995 et ont déjà vendu plus de 12 millions de disques à travers le monde et se sont imposés comme les chouchous du downtempo grâce à une soul atmosphérique teintée de country et friande de samples. Le dernier album en date de MORCHEEBA s'est écoulé à plus de 70000 copies en France. Dive Deep sortira le 4 février 2008. Le nouvel album... MORCHEEBA n'est pas vraiment un groupe au sens strict du terme, son refus d'être catégorisé musicalement touche jusqu'à son organisation même. Sur Dive Deep, les frères GODFREY ont invité plusieurs interprètes à chanter sur leurs instrumentaux : JUDIE TZUKE (qui a connu un énorme succès dans les années 70 avec son single " Stay With Me Till Dawn "). THOMAS DIBDALL, les des artistes les plus reconnus en Scandinavie actuellement. MANDA ZAMOLO, chanteuse Française d'origine Italienne, découverte par le groupe sur myspace. COOL CALM PETE, rappeur signé sur le prestigieux label indépendant Def Jux.

Avec éclat, Labelle continue son exploration de l'infinie possibilité de la composition débutée en 2019 avec Orchestre univers. Son quatrième album studio, centré autour d'un quatuor à cordes, est né lors d'une répétition à laquelle il assistait : assis à côté des cordes, il les observe communiquer entre eux dans un langage sans paroles, presque télépathique, fait de contacts visuels, de hochements de tête et de coups d'archets. Labelle a créé un disque capable d'unir des éléments de rock, de jazz, d'électronique et de musique classique sans jamais perdre l'auditeur, il l'attire en l'introduisant lentement dans un monde où la musique se libère de toutes ses barrières. Ce n'est définitivement plus de la musique classique qu'il compose.

Les années passent et les rangs des adeptes n’en finissent plus de grossir : c’est que la discographie, déjà fort achalandée, de Degiheugi s’étoffe chaque fois d’une nouvelle galette en or massif, composant une œuvre unique, impressionnante, dans le paysage du beatmaking français. Endless smile, sixième épisode, se révèle à nouveau comme un grand cru, immédiatement limpide, mais surtout long en bouche, chargé de persistances mélodiques intenses et de boucles qui prennent l’oreille en otage. Et quelle variété d’arômes dans l’art du sampling : cordes langoureuses, flûtes orientales, cuivres sautillants, percussions exotiques, piano intimiste, samples de blues antédiluvien ou de chanson française oubliée. Ce cépage du Grand Ouest trouve son parfait équilibre dans un esprit hip-hop, classique, intemporel, qui parcourt tout l’album en fil rouge. Quand d’autres beatmakers cèdent trop vite aux sirènes du dancefloor, Degiheugi nous transporte toujours vers ses premières amours hip-hop, pour le pur plaisir de la « belle boucle ». Et il sait pour cela s’entourer comme il se doit : les invités, fidèles comparses (Ghostown, Andrre, Astrid Van Peetersen,) ou nouveaux venus (Ceschi, Josh Martinez), se joignent à la fête avec des featurings de haut vol. Le titre de l’album sonne alors comme une prophétie : sourire éternel en écoutant Degiheugi.

"Le point de départ de ce disque, c'est une phrase du réalisateur Orson Welles, qui évoque la notion d'accident dans le processus créatif. J'ai toujours pensé que l'accident faisait partie intégrante de la création et que le travail d'un réalisateur de films ou de disques, c'est aussi de savoir les capturer pour faire de l'accident une intention artistique. J'ai décidé de ne pas suivre un concept bien établi mais cette ligne directrice plus instinctive et de partir à la pêche aux accidents". Dans cet opus, le tailleur de cire explore avec son sampler un monde de vinyles et de références cinématographiques, brandissant comme étendard une culture musicale estampillée et multipliant les clins d'oeil au 7e art dans une écriture en 33 tours et 24 images secondes.

Fossora fait écho à Utopia, mais Björk le décrit comme plus terrestre que son prédécesseur, un album organique et spacieux.

Bonobo, de son vrai nom Simon Green, présente Fragments qui fait suite à Migrations (2017). Un projet riche développant une palette sonore extraordinaire, rempli autant d'émotions que de compétences techniques uniques qui érigent une nouvelle fois Bonobo en tant que véritable pionnier de la musique électronique ; Fragments est une combinaison parfaite mêlant morceaux produits pour le dancefloor et titres taillés pour l'écoute à la maison. Bonobo s'est entouré d'artistes passionnants dont Joji, Jamila Woods, Jordan Rakei, Kadhja Bonet ainsi que O'Flynn et Miguel Atwood- Ferguson (Thundercat, Flying Lotus, Mary J. Blige, Dr. Dre).

Waldeck est fier de présenter 'Grand Casino Hotel', son 6e album studio, qui est de loin son plus cinématique. Au cours de la dernière décennie, Waldeck a souvent puisé son inspiration dans un certain genre musical ou une certaine époque, comme l'illustre parfaitement "Ballroom Stories" (sorti en 2007), considéré comme l'un des albums les plus influents d'Electro Swing. Avec "Gran Paradiso" (2016), il rend hommage au western spaghetti et à la canzone italienne, et dernièrement, avec "Atlantic Ballroom" (2018) il a plongé l'auditeur dans une ambiance de fiction policière aux saveurs enfumées de jazz de la fin des années 1960. Avec 'Grand Casino Hotel', Waldeck crée son American road movies, où l'on pourrait tout aussi bien croiser Wim Wenders et son Paris-Texas que David Lynch avec Lost Highway. Une certaine idée fantasmée de l'Amérique. Pour ce road trip, Waldeck s'est entouré des voix de Patrizia Ferrara, Zeebee et Joy Malcolm, et de Carl Avory.

L'étendue et la profondeur de l'influence de MORCHEEBA depuis que le trio a esquissé les bases du trip-hop avec son premier album, 'Who Can You Trust?', il y a environ 18 ans, est indéniable. Entre temps, le voyage a conduit PAUL GODFREY, maître des beats du groupe et grand sorcier de la production, et son frère multi-instrumentiste ROSS, ainsi que la chanteuse SKYE EDWARDS, à se produire devant des dizaines de milliers de fans extatiques à travers le monde, tout en sortant en cours de route sept albums à succès, tous disque d'or en France. - UN ENVOUTANT 8EME ALBUM AUX ACCENTS TRIP-HOP - Ce huitième album de MORCHEEBA, 'HEAD UP HIGH' navigue entre sons atmosphériques planants, éléments post-dubstep et synthés élastiques et bourdonnants. Le tout porté par la voix envoûtante de SKYE selon qui cet album est celui qui aurait pu suivre 'Big Calm', leur célèbre deuxième album qui a posé les bases du son si distinctif de MORCHEEBA. Paul affirme que MORCHEEBA n'a jamais été un groupe à se reposer sur ses lauriers : Quand on fait de nouveaux disques, tout ce qu'on désire, c'est épater nos fans, et avec un peu de chance, s'en faire de nouveaux". Avec 'HEAD UP HIGH' , MORCHEEBA a fait bien plus que réaliser ses ambitions.