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"Après le succès de son deuxième album 'Party' et une tournée internationale d'une centaine de dates, Aldous Harding a rapidement pris le chemin du studio d'enregistrement avec le grand John Parish à ses côtés une nouvelle fois pour faire naître les 9 titres qui composent ce nouvel opus. Les participations de Huw Evans (H. Hawkline), de Stephen Black (Sweet Baboo), du batteur Gwion Llewelyn et de la violoniste Clare Mactaggart viennent compléter les compositions riches et intemporelles d'Aldous Harding."

Dirty Honey est un groupe de rock américain formé à Los Angeles en 2017. Il se compose de Marc Labelle au chant, John Notto à la guitare, Justin Smolian à la basse et Corey Coverstone à la batterie. Vous avez peut-être entendu parler d’eux grâce au titre “When I’m Gone”, extrait de leur premier EP paru en 2019, qui les a révélé au grand jour. Dirty Honey devient alors le tout premier groupe non signé à se hisser rapidement numéro 1 des charts aux Etats-Unis. Le quatuor a entre autres partagé la scène avec The Who, Guns n’Roses ou encore Alter Bridge. La bande revient nous en mettre plein les oreilles et donne son nom à ce premier album produit à nouveau par l’australien Nick DiDia (Rage Against The Machine, Pearl Jam). La musique des américains s’inscrit dans la tradition hard rock/classic rock, avec une piqure de blues sur le dernier titre. Ils mélangent aisément les sonorités des années 70 et 80. (Rockmetal mag)

Premier album solo du leader de Wild BeastsAprès une riche carrière au sein de Wild Beasts, Hayden Thorpe dévoile Diviner, son premier album solo à paraître le 24 mai chez Domino.Enregistré en Californie, à Cornwall et à Londres, Diviner est un album profondément touchant, où la voix de Thorpe résonne comme un guide. Thorpe se livre sur 10 morceaux à travers des textes intimes et des mélodies bouleversantes.Un premier album saisissant qui plaira tant aux fans de James Blake qu'aux fans de Patrick Watson.

Entre blues rural et rock'n'roll minimaliste, entre Robert Johnson et Bog Log III, le one man band de KéPA propulse l'auditoire sur les bords du Mississippi sans que l'on ait bougé. 28 ans, trois ans de blues, des centaines de concerts et déjà deux Olympia ! Pourtant, rien ne prédestinait ce skateur professionnel à monter sur scène : "mon rêve était de skater aux quatre coins du monde " mais c'est après une méchante blessure qu'il se met à gratter sur une guitare. Il compose ses premiers morceaux. Peu à peu, il crée son genre qu'il joue sur des guitares acoustiques en acier, un modèle fabriqué dans les années 1930 aux Etats-Unis. Képa va vite, très vite, et il sait s'entourer ! Son nouvel album sort le 18 Mai sur Haïku Records, il est enregistré à Montréal avec Taylor Kirk et l'équipe de Timber Timbre à la production et à la réalisation. Les Inrocks en parlent déjà comme une révélation !

Trois décennies de carrière et un groupe qui trouve toujours l'inspiration. Pixies revient avec un 8ème album studio porté par des titres comme There's a Moon On ou Nomatterday. Du Pixies à l'état pur.

Le quatuor américain est de retour avec un 5e opus. Le groupe distille au fil de ces 20 titres leur folk douce et évocatrice, s'appuyant sur les paroles d'Adrianne Lenker pour dépeindre des paysages émotionnels crus et poétiques. Cet opus voit aussi Big Thief puiser l'inspiration dans les grands genres musicaux traditionnels américains comme la country et l'americana.

A quoi bon choisir entre poésie folk et puissance rock, entre liberté des seventies et tranchant des nineties, entre harmonies irlandaises et reliefs américains quand on peut tout entremêler et créer ainsi de nouvelles boutures ? Gunnar Ellwanger (chant, guitare), Jeff Preto (basse, chant), David Jarry Lacombe (batterie, chant) : la sève de Gunwood se distille à trois depuis les premiers pas d'un groupe qui, dans le sillage d'ensorceleurs des années 2010 comme Alabama Shakes, Feist ou les Black Keys, s'impose aujourd'hui en ciseleur de vibrations marquantes. Fort de la ribambelle d'éloges et de concerts qui avait logiquement suivi la sortie du saisissant Traveling soul en 2017, le trio revient avec un deuxième album cousu de main de maître enregistré aux prestigieux studios ICP à Bruxelles et réalisé avec Jean Lamoot (Noir Désir, Alain Bashung, Brigitte Fontaine... ).

Dropout Boogie marque le retour de l'un des plus gros groupes de rock de ces 20 dernières années. Ce 11e album studio propose 10 titres qui renouent avec les heures de gloire du duo, nous rappelant sans mal Brothers ou encore El Camino.

Eddie Vedder, le frontman de Pearl Jam, revient 11 ans après avec un album solo (via Seattle Surf/Republic Records). Une oeuvre sensible et intense où l'on retrouve Eddie à l'apogée de sa carrière avec des collaborations : Andrew Wyatt (Bruno Mars, Liam Gallagher, Ozzy Osbourne), Josh Klinghoffer (Red Hot Chili Peppers) ou encore Chad Smith. Eddie Vedder a ainsi réussi à réunir les saveurs d'un autre siècle en oscillant entre ballades rock à la Bruce Sprigsteen et morceaux puissants inspirés par Tom Petty.

Avec ce 6ème album, gorgé de bombes rock et de chansons mélodieuses à souhait, l'alchimie des Foo Fighters est parfaite.

Enregistré en seulement six mois, le troisième album de Frank carter & The Rattlesnakes marque leur apogée avec des titres coup de poing et coup de cœur. Avec à la barre Cam Backwood et au mixage Alan Moulder, le projet voit le co-auteur Dean Richardson prendre son envol. Le guitariste Tom Morello apparait également sur l'album pour le titre 'Tyrant Lizard King'. Ce nouvel album End Of Suffering fait ce que toute grande musique devrait faire : soulever les esprits et éveiller l'âme.

Les écossais de Teenage Fanclub ont annoncé la sortie de leur dixième album studio, Endless Arcade. Il n'y a rien de tel qu'un album du Teenage Fanclub pour apaiser l'esprit, le corps et l'âme, et de réaffirmer que tout n'est pas perdu dans ce monde malgré une année 2020 chaotique. Endless Arcade fait suite au neuvième album du groupe "Here", sorti en 2016 et salué par tous. Ce nouveau disque est la quintessence de TFC : les mélodies sont à parts égales, réconfortantes et déchirantes ; les guitares carillonnent et se déforment ; les lignes de claviers s'enroulent en spirale ; les chœurs enduits d'harmonies éclatent comme le soleil sur un orage en plein jour. Dans un futur proche, le groupe prépare déjà un nouvel album puisqu'il ne peut pas encore tourner celui qu'il sort actuellement. Bienvenue donc au Teenage Fanclub, qui n'a pas peur de cette arcade sans fin qu'est la vie.

Seulement quelques mois après le succès de Fear of the dawn, voici qu'arrive un nouvel opus de Jack White, enregistré en parallèle et venant compléter l'opus paru précédemment.

"Le quatrième album de Moriarty reprend le fil là où l'avait laissé The missing room (2011) : nous avons rouvert les malles pleines de bribes accumulées pendant des années, fouillé les fragments inachevés nés de tournées sans fin et de projets parallèles" tels sont les propos tenus par le groupe. Cet opus a été enregistré et mixé par Renaud Letang aux studios Ferber à Paris.

L'album est sorti le 12 juin 2007 et comprend onze titres. On notera la participation au chant de Mark Lanegan, Trent Reznor (Nine Inch Nails) (mais la chanson éponyme Era Vulgaris sur laquelle il participe n'apparaîtra pas sur l'album) et Julian Casablancas (The Strokes).

Iggy Pop revient avec un album sur lequel on retrouve de nombreux invités prestigieux avec entre autres : Taylor Hawkins (Foo Fighters), Dave Navarro (Jane's Addiction), Chad Smith (Red Hot Chili Peppers), Travis Barker (Blink 182), Stone Gossard (Stone Temple Pilots)... Every loser a été produit par Andrew Watt.