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Player, Piano
Jul 57
Daniel Lanois, l'un des plus grands producteurs de tous les temps, revient avec Player piano, un album instrumental et captivant ; une invitation à se perdre dans l'instant et à disparaître dans un monde d'imagination et de mémoire.
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Lanois Daniel
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2022 |
Musique Électronique |
04-11-2022 |
23 |
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Projections
Premier album. "Sublime mélange de musique primitive africaine, d'électronique, d'acoustique et de magie vaudou, cet album s'annonce être un sérieux concurrent à la course aux albums qui marqueront l'année." TRAX ROMARE est un jeune musicien, tout droit venu d'Angleterre, où il fut un temps étudiant en Culture Visuelle Africaine Américaine. Le collage a inspiré le jeune homme à appliquer une technique similaire à la musique - une approche qui fut grandement fructueuse et reste aujourd'hui centrale à son oeuvre. Après avoir lésiné comme batteur et guitariste, il vécut à Paris, où il a acheté ses premières platines et commença à mixer sa propre musique avec des samples d'albums procurés d'occasion. C'est là qu'est née sa vision, donnant naissance à son premier EP "Meditations on Afrocentrism" sorti par le label Black Acre en 2012, et l'ajoutant à une formidable liste dont Loops Haunt, Fantastic Mr Fox, Blue Daisy et Dark Sky font déjà partis. Avec le soutien de Benji B, Gilles Peterson et Huw Stephens, la musique de ROMARE a, à juste titre, déjà causé une agitation. La scène est maintenant prête pour son impressionnant premier album, Projections.
1 DISQUE COMPACT ;
NINA'S CHARM - WORK SONG - MOTHERLESS CHILD - RAY'S FOOT - ROOTS - JIMMY'S LAMENT - LOVER MAN - RAINBOW - PRISON BLUES - THE DRIFTER - LA PETITE MORT
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Romare
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2015 |
Musique Électronique |
27-11-2015 |
30 |
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Random access memories
10th anniversary edition
2023 marque le 10ème anniversaire de l'album aux multiples Grammys de Daft Punk, 'Random Access Memories', comprenant les titres 'Get Lucky', 'Instant Crush', 'Lose Yourself To Dance' en collaboration avec Pharrell Williams, Nile Rodgers, Julian Casablancas, Paul Williams, Panda Bear et Todd Edwards.Pour célébrer cet événement, une édition spéciale comprenant 35 minutes de musique inédite (démos et prises de studio) est publiée.
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Daft punk
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2023 |
Musique Électronique |
31-08-2023 |
121 |
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S16
S16 comme le chiffre du soufre en physique, Woodkid livre un album personnel, véritable allégorie du combat personnel que chacun mène avec soi-même.
Une œuvre faisant aussi écho à la situation mondiale actuelle, un véritable questionnement sur la notion d’échelle, de l’infiniment grand à l’infiniment petit, sur la notion de responsabilité collective et individuelle dans la création d’un monde au bord de la rupture.
Cet album de 11 titres, lui permet de se livrer en profondeur, d’évoquer des sujets forts, à la fois centrés sur l’intime en abordant l’auto-destruction et la dépendance avec « Pale Yellow », « Enemy » ou encore « In Your Likeness », mais questionnant également la société et notre rôle dans son évolution avec « Goliath » ou « Shift ».
Qu’avons-nous fait dans le passé ? Que ferons-nous dans l’avenir ? L’aventure continue.
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Woodkid
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2020 |
Musique Électronique |
30-07-2021 |
16 |
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Saudade
Quand ils se sont recontrés dans les années 90, ERIC HILTON & ROB GARZA ont rapidement compris que leur entente et leur complicité allait leur permettre de faire de grandes choses. Leur premier album "Sounds from the Thievery Hi-Fi" sort en 1996 et cartonne dans le monde entier . Dédié à Antonio Carlos Jobim, il annonce déjà leur amour pour la Bossa Nova que l'on retrouve sur leur nouvel album, "Saudade" .Repoussant sans cesse les limites de leur imagination, ils reviennent aujourd'hui donc avec "Saudade" sur leur propre label ESL MUSIC. Influencé par les sons sud-américains, notamment du Brésil, THIEVERY CORPORATION distille tout au long des 13 titres de "Saudade" une ambiance chaleureuse et mélancolique à la fois, rendant hommage à ses ainés: Antonio Carlos Jobim, Gal Costa, Luis Bonfá, Serge Gainsbourg, Ennio Morricone. Beaucoup de titres sont chantés en français, nous faisant penser à la vague francophone dans la musique des années 60. On retrouve le batter d'U.N.K.L.E. Michael Lowery sur l'album, ainsi que Federico Aubele (auteur/compositeur argentin) et le percussioniste brésilien Roberto Santos.
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Thievery Corporation
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2014 |
Musique Électronique |
11-06-2019 |
11 |
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Sequenza
"Coup de foudre musical" est une façon de décrire la genèse du duo formé par Chloé et la percussionniste bulgare Vassilena Serafimova. Une rencontre impromptue qui s'est depuis transformée en une collaboration durable, culminant avec la sortie de leur premier album commun cet automne après quatre ans de complicité sur scène et en studio. Chloé et Vassilena Serafimova se sont rencontrées en 2017, grâce à Sourdoreille qui les a invités à participer à leur série live électro-acoustique Variations. Leur premier album ensemble, Sequenza, est le fruit d'une collision harmonieuse entre deux mondes habituellement éloignés l'un de l'autre : celui de la musique électronique, généralement associée au clair-obscur des clubs, et de la musique d'art, qui baigne habituellement dans la lumière de salles de concert prestigieuses. Mais si mélanger les genres est souvent un exercice périlleux, dans ce cas, cela donne un cocktail puissant, aussi aérien que mélodieux.
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Chloé
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2021 |
Musique Électronique |
24-03-2022 |
13 |
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Siku
Le producteur équatorien signe un deuxième album habité qui exalte ses racines andines, à découvrir en écoute intégrale.
Le Siku est une flûte de pan très pratique. Ses tubes de roseau, placés sur deux rangées distinctes, lui permettent d’être jouée en solo ou en tandem. Dans cette dernière configuration, chaque musicien peut ainsi répondre à l’autre en n’utilisant qu’une partie des tubes seulement. En offrant le nom de cet instrument millénaire à son nouvel album, Nicolá Cruz a joué avec astuce sur les symboles : ce deuxième disque est bien le fruit d’une énergie duale, un métronome qui trouve sa force dans le mouvement d’un balancier désormais collectif.
Il y a quatre ans, le Franco-équatorien surgissait des pentes de Quito avec un premier album qui bousculait l’espace-temps. Encouragé par un certain Nicolas Jaar, Cruz sortait alors Prender el Alma, un projet syncrétique entre traditions sud-américaines et productions électroniques contemporaines. Une transe tribale et brillante qui semblait tout droit sortie de son seul cerveau et du vieil entrepôt de la capitale montagneuse où il l’avait enregistrée.
La plus grande nouveauté de ce second disque tient donc d’abord à l’élargissement créatif dont il est le fruit, l’invitation de Cruz à une vingtaine de chanteurs et musiciens qui vont guider son regard moderne dans les entrailles de la tradition andine. Esteban Valdivia est de ceux û là, un compatriote qui offre son souffle au titre introductif de l'album dans une sorte de fugue mariant le vent aux percussions et, comme un symbole, totalement dénuée d’électronique.
A sa suite, Siku apparait d’ailleurs comme un véritable pont entre les deux univers, la flûte de pan prenant des couleurs plus synthétiques tandis que les beats caractéristiques du producteur refont ici leur apparition, parfois ponctués de coup de baguettes disruptifs. Avec son El Diablo Me Va A Llevar, Nicolá Cruz plonge alors dans une fusion qui aiguise les sens, une écorce sombre et cyber où le roseau andin va jusqu’à faire écho lointain au bambou japonais du collectif Geinoh Yamashirogumi.
Cet album ne serait pourtant pas celui d’un esprit collectif, recherché aujourd'hui par le trentenaire, si des voix amies n’en formaient pas la corde sensible. Ces chants forment bel et bien le cœur de son disque, sous forme de harangue montagneuse avec Hacia Delante, de ballade aux effluves bossa sur Criançada, ou encore dans le mystère fusionnel de Voz De Las Montañas, un titre où l’étrange duo suédo-colombien Minük fait acte de spiritisme oriental.
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Cruz Nicola
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2019 |
Musique Électronique |
11-06-2019 |
18 |
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Solo piano
Le musicien le plus loufoque de sa génération, qui n'hésite pas à parodier du hip hop (qu'il aime tant) en jouant au crooner, vêtu de costumes roses, de rouflaquettes has been, a en 2005 laissé cette facette de son personnage derrière lui. Place ici à l'Artiste. Au pianiste plus précisément. En seize plages toutes aussi intimistes et émouvantes les unes que les autres, Gonzales surprend ici par sa finesse musicale. A l'écoute de ces petites pièces au piano, sans chant, le musicien québécois émigré à Paris compose la musique de notre film mental. Un film en noir et blanc, au scénario le plus souvent tragique. Plus proche d'un Erik Satie que d'un Yann Tiersen, Gonzales se laisse aller à la mélancolie, proposant des progressions très travaillées, rythmiquement et mélodiquement... A l'instar du sensible « Carnivalse », le reste de ce disque se déploie progressivement au fil des écoutes, laissant l'auditeur dans une rêverie inespérée de la part du trublion Gonzales. Impossible de dire si ce Solo Piano est (comme beaucoup le scandent) le meilleur album de Gonzales, pour la simple et bonne raison qu'il n'est comparable en aucun point. On retiendra juste de cette performance pianistique qu'elle est inévitablement l'ouvre d'une âme artistique démesurée, outrancière et outrageusement sensible.
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Gonzales, Chilly
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2010 |
Musique Électronique |
21-05-2021 |
13 |
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Some kind of peace - Piano reworks
Olafur Arnalds dévoile Some kind of peace : piano reworks ; un album de reprises créatives de piano par des artistes du classique moderne, de l'électronique et du jazz : Yiruma, Dustin O'Halloran, Hania Rani, Alfa Mist, tstewart, Lambert, Sophie Hutchings, Eydís Evensen et bien d'autres...
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Arnalds Olafur
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2022 |
Musique Électronique |
16-11-2022 |
19 |
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Special edition part 1
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Fat Freddy's Drop
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2020 |
Musique Électronique |
23-09-2020 |
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Summer on Mars
L’année dernière, nous avions été surpris par le virage hip-hop jazzy de Stand High Patrol avec leur dernier album The Shift (chroniqué ici). Ceux qui s’attendaient à du dub-a-dub digital bien wicked ont été quelque peu déçus des sonorités boom-bap des années 1990 totalement inattendus. Alors pour tenter de rectifier le tir, ils annoncent un album en collaboration avec la diva italienne Marina P intitulé Summer on Mars.
Avoir deux têtes d’affiche pour un album collaboratif, ça donne toujours envie. La voix savoureuse et soulful de Marina P qui nous a succombé avec sa reprise de « I Wish I Were That Girl » en 2014 sur des productions de Stand High Patrol, on a toujours envie de savoir ce que cela donne. La touche Play appuyée et c’est parti pour un bon moment de musique avec des ambiances bien ténébreuses qui habitent les titres « Working Class » plutôt bluesy, « Landlord » et « Fragile ».
Musicalement parlant, Stand High Patrol effectue un revirement musical (timide) vers ses origines mais plus ténébreux qu’auparavant comme le signale « Atmosphere » aux nappes synthétiques transcendantes et les saveurs plus dub « Spring Rain » sublimé par ses notes de trompette. On retiendra tout simplement l’interprétation solennelle de Marina P qui arbore les saveurs plus trip-hop et qui subliment les instrumentaux désabusés de « Raw Lines » et du morceau-titre plus hip-hop mais elle est parfois rejointe par la voix de Pupajim qui surgit uniquement sur « Dreamcatcher ». Un album dense et extra-terrestre qui contourne les territoires du skank pour une oeuvre se voulant universelle malgré elle.
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Marina P
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2018 |
Musique Électronique |
11-06-2019 |
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The fat of the land
15th anniversary edition
The Fat of the Land est un album du groupe The Prodigy, emblématique du style big beat. Il a été publié par XL Recordings le 1er juillet 1997.
L'album a causé une petite controverse en Grande-Bretagne en raison de l'apparence du chanteur, Keith Flint, dans la vidéo du premier single : Firestarter. Certaines personnes ont parlé de misogynie pour le titre Smack My Bitch Up, mais le groupe maintient qu'il s'agissait d'un trait d'humour en rapport avec le gangsta rap.
Une citation du nazi Hermann Göring figure dans le livret qui accompagne l'album :
« Steel? We have no butter, but I ask you - Would you rather have butter or guns? Shall we import lard or steel? Let me tell you, Preparedness makes us powerful. ...Butter merely makes us fat. Lard? »
Liam Howlett présente cette citation comme une expression qui pourrait être celle d'un « mauvais garçon » de la scène hip-hop, sans lien avec son contexte d'origine.
Comme sur la pochette de leur album précédent, le logo indique Prodigy au lieu de The Prodigy, ce qui a laissé penser que le groupe changeait de nom. Liam Howlett indiquera bien plus tard qu'il s'agissait uniquement d'une contrainte esthétique, mais que le nom du groupe a toujours été The Prodigy, comme les albums suivants le rappelleront.
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Prodigy
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2012 |
Musique Électronique |
11-06-2019 |
12 |
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The north border tour - live
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Bonobo
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2014 |
Musique Électronique |
11-06-2019 |
38 |
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The shadow of their suns
5 ans après son dernier album studio, le français Wax Tailor est de retour avec “The Shadow Of Their Suns” un “long métrage sonore” à l’élégance sombre accompagné d’un casting inédit et prestigieux. Derrière ce titre allégorique se cache une longue période de réflexion, le luxe du temps face à la culture de l’instant. Du temps pour observer la lumière depuis l’ombre, le “tourbillon de la vie”, ses excès, ses dérives et ses violences symboliques. Du temps pour penser et traduire en musique en simple témoin privilégié de notre société.
Sur ce nouvel album on croise la légende du rock Mark Lanegan, Del the Funky Homosapien (Gorillaz, Hieroglyphics), D Smoke (étoile montante du rap US), Rosemary Standley (chanteuse de Moriarty) la voix de feu Gil Scott Heron, Mr LIF (Thievery Corporation, Def Jux), Yugen Blakrok (figure du rap sud-africain révélée sur la BO Black Panther aux côtés de Kendrick Lamar et Vince Staple) Boog Brown (icône de la scène hip hop de Detroit) et la chanteuse afro-carribéenne Adeline (Cee Lo Green, Afropunk).
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Tailor Wax
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2021 |
Musique Électronique |
03-06-2021 |
14 |
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The valley of the kings
Figure incontournable de la scène breakbeat en France, fondateur du label Beatsqueeze Records et auteur des mythiques albums Modonut 1 & 2 aux côtés de Mister Modo, il est de retour avec un album solo naviguant entre lofi hip-hop, abstract hip-hop ou encore broken beat. Exercice de diggerbeatmaker par excellence, très inspiré des productions 90s des maîtres du genre tels que Madlib, DJ Shadow ou RZA, le concept de cet album instrumental aux sonorités orientales repose sur la recherche du sample de LA boucle ultime et parfaitement entêtante, qui peut s'écouter à l'infini. Dans une ambiance très cinématographique, Ugly Mac Beer réussit au final le pari de développer son concept de 'vieux film sur l'Egypte' du début à la fin de l'album et parvient ainsi à raconter une véritable histoire qui nous fait voyager au temps des pyramides.
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Ugly Mac Beer
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2023 |
Musique Électronique |
31-08-2023 |
48 |
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Time has come
Avec cet album, le groupe tisse un lien étroit entre le vide créatif de la vie, le chaos de l'humain autant que sa beauté. Le quatuor a élaboré une histoire de vie depuis le chaos originel, d'une graine germant du vide, développant sa vie et, au contact du monde, vivant les étapes de crise, de croisement, d'émulation, de calme inhérentes à toute vie terrestre. Nécessité de la fusion et du métissage, nécessité du vivant, mélange du sang, mélange des cultures, mélange des univers musicaux, à la fois organique, à la fois digital. La technologie au coeur du vivant, reconnecté à l'humain.
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High Tone
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2019 |
Musique Électronique |
24-04-2019 |
15 |
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Traum und Existenz
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Kompromat
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2019 |
Musique Électronique |
11-12-2019 |
16 |
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Treasures from the temple
Thievery Corporation revient avec un nouvel album. Ce nouvel opus a été enregistré au même moment que "Temple of I And I" et suit la même lignée. Si vous avez aimé le précédent album vous ne pourrez pas résister à celui-ci.
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Thievery Corporation
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2018 |
Musique Électronique |
12-06-2019 |
17 |
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Trois
Quoi qu’on dise, Acid Arab a marqué l’histoire. Le collectif réussit à nous faire danser en mêlant electronica de l’Occident et musiques orientales pour un mélange absolument irrésistible. Et ils continuent de le faire avec leur successeur tant attendu du nom de ? (Trois).
Mettant un terme de quatre années et demi d’absence, Acid Arab redémarre la machine pour notre plus grand bonheur. Ici, le collectif franco-algérien qui avait mis la barre haute avec Jdid (chroniqué ici) arbore des chemins un brin plus groovy que d’habitude. Et c’est d’autant le cas dès le début avec « Leïla » en compagnie de Sofiane Saïdi où l’électrorientale du collectif fait toujours un malheur tout comme les très funky « Döne Döne » avec Cem Yildiz et « Halim Guelil » conviant Cheb Halim.
Une fois de plus, Acid Arab détonne pour ses sonorités hypnotiques et fiévreuses. ? (Trois) ne déroge pas à la règle avec notamment les frénétiques « Ya Mahla » en compagnie de Wael Alkak sans oublier « Gouloulou » avec Fella Soltana et le bien-nommé « Acid Chawi » comprenant Khnafer Lazhar aux portées bien acid. Bien entendu, un moment d’émotion est le bienvenu lorsque surgit la voix du regretté Rachid Taha retentissant une ultime fois avec « Rachid Trip » aussi bien ensorcelant que bouleversant.
Passé deux instrumentaux tonitruants que sont « Emo » et « Sayarat 303 Part II », ? (Trois) est une troisième réussite d’affilée pour Acid Arab. En continuant de bâtir le lien entre techno de l’Occident, groove addictif et influences orientales, le collectif franco-algérien saura réchauffer le dancefloor en cet hiver interminable.
Source: Lesoreillescurieuses.com
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Acid Arab
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2023 |
Musique Électronique |
12-04-2023 |
9 |
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0
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Under the shade of violets
Un album exceptionnel, profond, fascinant, envoutant, qui aurait pu naître d'une rencontre entre PINK FLOYD, OUM KALTHOUM et JOY DIVISION. Le précédent album d'ORANGE BLOSSOM, paru en 2005, s'était écoulé à 30 000 exemplaires. Un public aux quatre coins du monde s'en était épris, des Etats-Unis à la bande de Gaza, en passant par l'Afrique du Nord, les Pays de l'Est, l'Europe et l'Asie. Parmi eux, Sir Robert Plant qui les avait engagés sur ses premières parties. Il a fallu s'installer au fond d'un hôtel à Aman en Jordanie, le temps d' y enregistrer des chanteurs traditionnels venus prêter leurs voix dans les lumières crépusculaires d'un soleil lunaire. Il a fallu le temps du retour, atterrir ou presque, le temps pour enregistrer, capter l'acoustique de l'Orchestre du Conservatoire de Cholet. Les machines n'ont pas d'agenda. Les musiciens si. Il a fallu prendre le temps de poser les atmosphères pour mieux les embraser, du temps pour développer les thèmes et en obtenir la quintessence. Ce temps, Orange Blossom l'a pris. Et il revient encore plus fort. Ensemble ils présentent un nouvel album précieux, novateur, qui sera assurément un des chocs musicaux de la rentrée 2014.
Contient: Ommaty. - Lost. - Ya sidi. - Pitcha. - Jerusalem. - Maria. - Good bye kô. - Mexico. - The nubian. - Black box. - Pink man. - Aqua.
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Orange Blossom
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2014 |
Musique Électronique |
27-11-2015 |
13 |