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Recueil des chroniques tenues chaque vendredi matin sur France Inter entre 2021 et 2023, dans lesquelles François Morel évoque l'actualité avec humour et sensibilité. ©Electre 2023

Recueil des chroniques tenues chaque vendredi matin sur France Inter par F. Morel entre 2019 et 2021, dans lesquelles il évoque l'actualité avec humour et sensibilité. ©Electre 2021

L'hiver approche et tout le monde s'est réuni au coin du feu chez Georges Hibou pour partager des histoires. L'ours Edouard propose de raconter des histoires qui font peur. La version audio est accessible en ligne.

"3615 terrorisme : le retour des daechiens", "Ne renoncer à rien", "Je n'aimerais pas être le cardiologue d'Alain Finkielkraut", "Est-ce que la météo ne ferait pas le jeu du FN ?", "Manuel Valls a avalé un clown", "Demande d'asile : merci de fournir un certificat de torture", "La liberté de la trompette s'arrête là où commence celle des autres". La cuvée 2015-2017 des chroniques de François Morel est un excellent cru : une centaine de chroniques toujours aussi décapantes, cinglantes, émouvantes. Justes, jamais méchantes, elles racontent l'actualité de ces deux dernières années, façon Morel. On en redemande. Préface de Guillaume Meurice

L'air du temps façon François Morel, c'est une centaine de chroniques mordantes, salutaires, souvent assassines, toujours réjouissantes. Un ministère du Rire en France ? Des conseils pour lutter contre la gueule de bois ? Et pourquoi pas un hymne au camembert ? Chaque vendredi matin sur France Inter, François Morel récidive. Quelques minutes pour croquer l'époque dans ce qu'elle a de pire, et parfois de meilleur. Quelques minutes pour rire de tout, sans limites, et se consoler de la bêtise. Trait caractéristique des grands humoristes, Morel sait manier la plume aussi bien que le jeu. Ses chroniques sont une remarquable réussite d'écriture, d'humour et de poésie.

Résumé : Harcelé par l'URSSAF, les ouvrières de sa petite usine de lunettes de W-C, sa femme et sa fille, deux emmerdeuses notoires, Francis Bergeade craque. Mais un événement exceptionnel va changer le cours de son destin... Bonus : Bande-annonce.

Alger, années 20, le chat du rabbin Sfar croque un perroquet et devient bavard. Pour rester auprès de la fille de son maître, il est prêt à se convertir au judaïsme. Trouvailles visuelles et sonores, belle adaptation de la BD.

Adrien est coincé. Coincé à un dîner de famille où papa ressort la même anecdote que d'habitude, maman ressert le sempiternel gigot et Sophie, sa soeur, écoute son futur mari comme s'il était Einstein. Alors il attend. Il attend que Sonia réponde à son sms, et mette fin à la «pause» qu'elle lui fait subir depuis un mois. Mais elle ne répond pas. Et pour couronner le tout, voilà que Ludo, son futur beau-frère, lui demande de faire un discours au mariage... Oh putain, il ne l'avait pas vu venir, celle-là ! L'angoisse d'Adrien vire à la panique. Mais si ce discours était finalement la meilleure chose qui puisse lui arriver ?

Un grand génie et une petite voix, trois larmes et dix rires, une sorcière et une amoureuse, des opéras du soir et une petite musique de nuit, un papillon et beaucoup d'étoiles.Voici chaque étape de la vie d'un virtuose habité, un brin décalé, devenu un génial compositeur. Un texte poétique, drôle et tendre, lu par François Morel, sur les plus belles pages musicales de Mozart.

Neuf textes de jeunesse de Brassens Bertrand Belin, François Morel et Olivier Daviaud. Ces chansons-là, vous ne les avez encore jamais entendues : leurs textes n’avaient pas été mis en musique. Brassens les a écrits entre ses 17 et ses 24 ans. Certains sont nés à Basdorf, près de Berlin, où le jeune homme avait été envoyé au titre du STO. À l’époque, il s’imaginait auteur, pas interprète ; ses mots n’en ont que plus de valeur. On y décèle l’influence de Trenet ou de Mireille et Jean Nohain, mais aussi une étonnante maîtrise de la rime. Publiés en 2007 (Georges Brassens, "OEuvres complètes", Le Cherche Midi), ces textes sont aujourd’hui transformés en chansons par le compositeur Olivier Daviaud. Bertrand Belin et François Morel les interprètent avec lui, à l’occasion de l’exposition "Brassens ou la liberté" à la Cité de la musique [...]. Ils nous dévoilent un Brassens tendre, joueur, touchant. Livret illustré par Joann Sfar. Collection Cité de la musique / Télérama